Aicha Aboutaleb
Pour les acteurs médiatiques, cette artiste oniriste peint «à la manière des aborigènes» sans le savoir. Ses œuvres peuvent être comparées aux œuvres de femmes aborigènes, notamment «Les femmes du désert» des sœurs Petyare, artistes aborigènes d›Australie et peintres de renommée internationale : « Née à Safi en 1972, Aïcha Aboutaleb est une artiste autodidacte passionnée de peinture aborigène. La technique aux seringues de cette artiste entraine le public dans un tourbillon de vie et de lumière. ».
Artiste expressionniste, Aicha Aboutaleb (née en 1972 à Safi) a pu développer une démarche symbolique forte. On peut parler de lyrisme dans sa peinture connotative. Elle revisite à sa guise les formes et les couleurs. So acte pictural se veut le prolongement qualitatif d'un travail méticuleux et approfondi sur le thème de l'abondance, en stylisant les formes d'une manière gestuelle à l'instar de l'acte visuel lyrique, ce qui dégage des éléments relatifs au monde des êtres en plein mouvement. Les lignes multidirectionnelles voire labyrinthiques nous livrent les secrets avec audace et sureté des espaces chromatiques animés par la profondeur et l'épuration à l'état brut mais combien maîtrisé.
Plasticienne hypersensible, Aicha Aboutaleb a pu concevoir avec un langage plastique bien recherché et abouti sur toile. Elle cherche à exprimer à travers ses enchevêtrements ce qu'elle ressent et non ce qu'elle voit, en quittant la pensée rationnelle du raisonnement. L'espace de la création est le seul endroit sensiblement palpable où son esprit peut s'inventer un labyrinthe, un espace intime d'où il est encore possible de se perdre de vue, dans le champ sans limite du rêve et de la poésie. «Culte magique de la vie» sous la palette. On ne pouvait pas trouver un intitulé plus représentatif et plus éloquent des œuvres de l'artiste Aicha Aboutaleb : univers iconographiques affranchis des règles de l'espace et du temps. Il s'agit d'un rite ludique qui surpasse le jeu de perspectives ou de concepts. C'est une écriture autobiographique célébrant la vie au quotidien et l'univers généreux des couleurs et des figures familières. Chaque tableau est un rituel plastique géré par la nostalgie et les réminiscences. C'est un monde innocent qui nous rappelle autrement la vie de tous les jours.
Plasticienne hypersensible, Aicha Aboutaleb a pu concevoir avec un langage plastique bien recherché et abouti sur toile. Elle cherche à exprimer à travers ses enchevêtrements ce qu'elle ressent et non ce qu'elle voit, en quittant la pensée rationnelle du raisonnement. L'espace de la création est le seul endroit sensiblement palpable où son esprit peut s'inventer un labyrinthe, un espace intime d'où il est encore possible de se perdre de vue, dans le champ sans limite du rêve et de la poésie. «Culte magique de la vie» sous la palette. On ne pouvait pas trouver un intitulé plus représentatif et plus éloquent des œuvres de l'artiste Aicha Aboutaleb : univers iconographiques affranchis des règles de l'espace et du temps. Il s'agit d'un rite ludique qui surpasse le jeu de perspectives ou de concepts. C'est une écriture autobiographique célébrant la vie au quotidien et l'univers généreux des couleurs et des figures familières. Chaque tableau est un rituel plastique géré par la nostalgie et les réminiscences. C'est un monde innocent qui nous rappelle autrement la vie de tous les jours.
Source: Maghress
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