C’est un passionnant voyage dans la recherche picturale de ce jeune plasticien marocain qui a su pertinemment associer la créativité à l’investigation intérieure et à la recherche perpétuelle.
Natif de Fès, Zidor exploite la peinture à l’huile et d’autres textures matiéristes pour lâcher la bride à ses introspections et à ses illuminations invisibles selon les révélations de sa nécessité intérieure. Il nous procure une sensation illuminée qui échappe à toute description et lecture livresque et intellectuelle.
Ses toiles réalisées sur les grands supports et les divers formats sont conçues pour pénétrer et transcender le paysage apparent de Fès, et ce via un traitement sobre, mais combien recherché au niveau des couleurs et de la lumière.
Avec brio et passion, cet artiste chercheur mène une quête créative en vue de capter les parcelles fugaces de la profondeur et les élans des horizons infinis qui font référence à la spiritualité au sens profond du terme.
Zidor opte pour une gestion plastique structurée et inachevée des formes et des couleurs pour mettre en toile ses états d’âme et ses soucis esthétiques par rapport à l’être et au paraître. Les murailles de Fès, la formation à l’Institut national des Beaux-Arts de Tétouan, la blancheur des espaces vécus et habités, tant de composantes qui ont marqué son imaginaire plastique et conféré à l’œuvre la douceur, la spiritualité et la spontanéité.
Dans ses œuvres abstraites, on perçoit l’harmonie des couleurs, la profondeur des formes nostalgiques pleines de réminiscences et de flashs-back.
Le fond domine la surface de ses toiles où surgissent des taches et des jets chromatiques qui embrassent l’infini des impressions, des tempéraments et des significations : «L’acte pictural est un jaillissement, une délivrance et un état d’âme. Mon travail accorde une grande place à la forme, au mouvement et à la couleur. Toutes ces unités iconographiques sont dictées par l’instinct, l’intuition et la nécessité intérieure. J’essaie, à ma manière, de tisser mon imaginaire sur mes toiles à l’instar d’un narrateur imagier qui donne libre cours à ses souvenirs et ses fantasmes. Il y a une certaine nostalgie du terroir chez moi et un souci de la luminosité des couleurs de la vie des gestes qui dominent la toile et la rendent multidirectionnelle dans un interminable mouvement de transcendance », a confié l’artiste à Libé.
Le jet des taches demeure spontané chez Zidor, ingénieur de l’âme et poète visuel, qui a pu sciemment jongler avec la magie des couleurs et les effets gigantesques de l’espace, tout en valorisant la liberté d’expression rythmée par la quintessence de la plasticité. Ainsi, le travail imposant de ce plasticien novateur nous invite à la méditation et à la sérénité. L’oeil scrute la transparence des toiles mouvementées à fond pluriel, d’où émerge, avec une grande subtilité, le rayonnement infini d’une lumière enflammée qui anime l’artiste et fait allusion à l’enfance de l’art.
Natif de Fès, Zidor exploite la peinture à l’huile et d’autres textures matiéristes pour lâcher la bride à ses introspections et à ses illuminations invisibles selon les révélations de sa nécessité intérieure. Il nous procure une sensation illuminée qui échappe à toute description et lecture livresque et intellectuelle.
Ses toiles réalisées sur les grands supports et les divers formats sont conçues pour pénétrer et transcender le paysage apparent de Fès, et ce via un traitement sobre, mais combien recherché au niveau des couleurs et de la lumière.
Avec brio et passion, cet artiste chercheur mène une quête créative en vue de capter les parcelles fugaces de la profondeur et les élans des horizons infinis qui font référence à la spiritualité au sens profond du terme.
Zidor opte pour une gestion plastique structurée et inachevée des formes et des couleurs pour mettre en toile ses états d’âme et ses soucis esthétiques par rapport à l’être et au paraître. Les murailles de Fès, la formation à l’Institut national des Beaux-Arts de Tétouan, la blancheur des espaces vécus et habités, tant de composantes qui ont marqué son imaginaire plastique et conféré à l’œuvre la douceur, la spiritualité et la spontanéité.
Dans ses œuvres abstraites, on perçoit l’harmonie des couleurs, la profondeur des formes nostalgiques pleines de réminiscences et de flashs-back.
Le fond domine la surface de ses toiles où surgissent des taches et des jets chromatiques qui embrassent l’infini des impressions, des tempéraments et des significations : «L’acte pictural est un jaillissement, une délivrance et un état d’âme. Mon travail accorde une grande place à la forme, au mouvement et à la couleur. Toutes ces unités iconographiques sont dictées par l’instinct, l’intuition et la nécessité intérieure. J’essaie, à ma manière, de tisser mon imaginaire sur mes toiles à l’instar d’un narrateur imagier qui donne libre cours à ses souvenirs et ses fantasmes. Il y a une certaine nostalgie du terroir chez moi et un souci de la luminosité des couleurs de la vie des gestes qui dominent la toile et la rendent multidirectionnelle dans un interminable mouvement de transcendance », a confié l’artiste à Libé.
Le jet des taches demeure spontané chez Zidor, ingénieur de l’âme et poète visuel, qui a pu sciemment jongler avec la magie des couleurs et les effets gigantesques de l’espace, tout en valorisant la liberté d’expression rythmée par la quintessence de la plasticité. Ainsi, le travail imposant de ce plasticien novateur nous invite à la méditation et à la sérénité. L’oeil scrute la transparence des toiles mouvementées à fond pluriel, d’où émerge, avec une grande subtilité, le rayonnement infini d’une lumière enflammée qui anime l’artiste et fait allusion à l’enfance de l’art.
Source: Libe